

D'un autre côté, j'apprécie beaucoup les doudous de mes filles (voir photos). Nous trimballons la fraise de A. et la feuille de G. partout avec nos filles. Toutes les deux, elles s'en saisissent avant de dormir, les plaquent sur leur nez tout en collant leur pouce en bouche, et se tournent sur le côté pour une bonne nuit de sommeil. Un spectacle tout à fait réjouissant. Cependant, cela ne va pas sans inconvénient : jusqu'à dernièrement, j'avais l'impression qu'elles pourraient encore facilement se passer de leurs peluches, mais un soir, en allant chez ma belle-mère, je les ai oublié et A. a hurlé pendant une heure et demie avant de s'endormir. J'ai ensuite été tellement traumatisé par les sanglots qu'elle continuait à produire en dormant, que j'ai fait 50 km de voiture pour lui ramener sa fraise adorée. Moi qui me prenais pour un écologiste. Je suis effaré de voir à quel point mes filles peuvent être dépendantes d'un objet. Du coup, on a acheté un deuxième exemplaire de chaque doudou, que nous stockons par sécurité dans la voiture, qui en général, nous accompagne en déplacement ...
D'autres objets me réjouissent et me font fondre de tendresse : les vêtements (bodys rayés, salopettes en velours, robes à fleurs, pyjamas ornés d'animaux), les jouets de bain (notamment, nos petits lapins à bouée), les chaussons (Bobux roses avec une fleur pour A., marrons avec plusieurs petites fleurs pour G.) , les bonnets (surtout les péruviens), et enfin, les livres. Pour ces derniers, un petit bémol quand même, je les aimais mieux avant de connaître par coeur des pages entières de textes aussi transcendants que "Pour qui ce petit bisou ? C'est pour toi ce petit bisou !".
PS : les doudous, on peut les acheter ici.
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